A Reims, la gauche gagne les municipales en 2026.

Jacques HM COHEN   5 juillet 2024

Sur les ondes de RCF: LIEN

La chronique d’actualité avec le Professeur Jacques Cohen, bonjour.

Bonjour.

Et aujourd’hui, on va une nouvelle fois sortir la boule de cristal mais on se projette de plus en plus loin au fil des semaines avec vous, Professeur Jacques Cohen, puisqu’aujourd’hui on va regarder ce qu’il pourrait se passer lors des municipales à Reims, c’est donc en 2026, notamment se baser sur un article qu’a sorti un de nos confrères du journal L’Union Olivier Durand, paru donc dans les colonnes du journal il y a quelques jours, Professeur Jacques Cohen.

Oui, donc là il s’agit de sortir la boule de cristal. Mais comme souvent, il s’agit de dire ce qu’il se passerait si les municipales étaient demain matin, ce qui n’est pas le cas. Alors, je pense qu’il faut commencer par rappeler les choses. Dans cette élection législative, qui est un scrutin de circonscription à deux tours, il y a un paramètre, j’allais dire qui est un sous-produit, qui est les scores des partis en voix. Et alors en voix, si on regarde les circonscriptions, elles sont découpées en parts de tarte de façon à mettre un bout de ville, un grand morceau de campagne, etc, pour équilibrer, voire tripoter un peu les résultats potentiels. Mais si on regarde sur Reims ville, sur la commune de Reims, ce qui sera le cas aux prochaines municipales, on s’aperçoit qu’il y a trois blocs, et que c’est le bloc de gauche qui est en tête.

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Reims, le pont Charles de Gaulle, un pont pour rien ?

JHM Cohen 2 12 22

Sur les ondes de RCF: LIEN

 

La chronique d’actualité avec le Professeur Jacques COHEN. Aujourd’hui, on s’intéresse à la ville de Reims. On a appris dans la semaine, JC, que le pont Charles de Gaulle qui date de l’urbanisme des années 70 allait être détruit. JC, quel est votre regard sur cette actualité ?

C’est assez impressionnant parce que ce pont sert peu, on verra tout à l’heure pourquoi et quelle est son histoire, mais détruire un pont sous prétexte qu’il ne sert pas c’est quand même assez ahurissant, car il s’agit de ne rien mettre à la place, sauf une passerelle pour piétons. Cela ressort d’un raisonnement qui se continue qui est de réserver le centre de Reims aux bobos et à la maison de retraite de leurs parents. On a déjà la zone de faible émission qui raisonne ainsi et il s’agit à nouveau de créer un espèce de condominum, comme on dit, au Brésil ou aux États-Unis, c’est-à-dire une réserve pour riches et les autres n’ont pas à y entrer.

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